Let’s kick off this series with a bang. Today we’re chatting with 2007 Optinats champion, 2023 Pan Am ILCA 6 Silver Medalist and one of the members of Team Canada who will represent us all at the 2024 Paris Olympics, Sarah Douglas!
Sarah, congratulations on winning the silver medal at the Pan Am Games earlier this month and thank you for taking the time to chat with us.
How old were you when you started sailing in an Opti?
SD: 7 years old.
How quickly did you become a competitive sailor? I believe you were at the Opti Worlds at 11 years old?
SD: Pretty quickly, I went to my first Worlds when I was 10 years old in Ecuador. I was the last person to qualify for the 5 person team from Barbados.
What IODA/international events have you competed in?
SD: 2 Opti Worlds, 3 Opti North Americans.
Who was your role model, your inspiration?
SD: My brother growing up, then Rosie McLennan (2-time gold medalist in gymnastics) sparked my Olympic dream but not until I was 18 years old.
Did you make any friends during those years that you are still in touch with today?
SD: A ton, I met my now fiancé sailing Optis and I’ve got many lifelong friends now that I’ve raced against in Optis
Did you do any other sports at the time and do you still do them?
SD: Sailing was my main sport until I moved to Canada at the age of 14, then I tried other sports like volleyball, rowing and field hockey. Now my main focus is sailing and I’ve added biking and golf on the side for cross training.
What was your favorite regatta back then?
SD: I’ve always loved CORK. White Mountain Ice Cream was my favorite post sailing treat.
Were you ever intimidated at the starting line?
SD: In the beginning yes, it’s normal to feel nervous or intimidated at big regattas but sometimes you have to try to be comfortable when uncomfortable and eventually it will feel normal.
What’s your fondest memory from your Opti years?
SD: I was part of the Lake Ontario Optimist Team and I had a blast traveling across North America in a van with the team. I made so many memories in Opti.
What do you wish you knew then that you know now?
SD: It’s not about winning. It’s about building your skills across the board and having fun. I used to care too much about winning.
What was your favorite food (snack) to eat on the water?
SD: As a kid, I loved Welch’s fruit snacks but now I eat Lara bars and GU energy gels.
What’s the best dinner to have during a regatta?
SD: Something simple and easy on the stomach. My go-to meal is BBQ chicken, sweet potatoes and broccoli.
How much did sailing in Opti help you transition to ILCA?
SD: I was extremely competitive and had some good base knowledge but I was missing a lot of basics cause I didn’t do a lot of other sailing. That’s where I wish I had done more to learn all the basic skills and be more of a well-rounded sailor with the right attitude going into the ILCA 6. It’s all about having a growth mindset.
How important is off-water physical training to be successful?
SD: Extremely important, I have never been a fan of the gym, so I had to put a lot of work into learning the right movement patterns along with the discipline of gym training. In the early days in the ILCA, my sailing suffered due to my lack of off-water physical training.
How important is mental preparation to be successful?
SD: Mindset is everything. I strive to be a coachable, humble athlete who is always willing to learn and try new things. I’ve had a lot of success by embracing the process.
What advice do you have for young sailors who want to pursue a high performance sailing career?
SD: Ask a lot of questions, build your knowledge and fitness base and strive for excellence. Becoming a well-rounded sailor will pay dividends and trusting the process will get the results you want.
What did you study at college/university?
SD: I did a business degree with a major in marketing management. What’s your plan for the next two years?
SD: There are less than 250 days to Paris 2024. I am fully focused on preparing for those Olympics in France, from there I will take some time off and start planning my wedding in 2025.
Thank you so much for your generous time, good luck at the Olympics and congratulations on your upcoming wedding! Many Opti sailors will be following your adventure!
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Où en sont-ils aujourd’hui?
Une série de questions-réponses avec d’anciens champions Optimist pour se remémorer leur parcours, ce qu’il leur a apporté et ce qu’ils feront à l’avenir.
Commençons cette série en force. Aujourd’hui, nous discutons avec Sarah Douglas, championne des Optinats en 2007, médaillée d’argent en ILCA 6 aux Jeux panaméricains de 2023 et membre de l’équipe canadienne qui nous représentera aux Jeux olympiques de Paris en 2024!
Sarah, félicitations pour ta médaille d’argent aux Jeux panaméricains au début du mois et merci de prendre le temps de discuter avec nous.
Quel âge avais-tu lorsque tu as commencé à naviguer en Opti? SD : 7 ans.
En combien de temps es-tu devenue une athlète de compétition? Il me semble que tu as participé aux championnats du monde d’Opti à l’âge de 11 ans?
SD : Assez rapidement, j’ai participé à mes premiers championnats du monde à 10 ans, en Équateur. J’étais la dernière à me qualifier pour l’équipe de cinq personnes de la Barbade.
Quels sont les événements IODA internationaux auxquels tu as participé?
SD : J’ai fait 2 championnats du monde et 3 nord-américains.
Qui a été ton modèle, ta source d’inspiration?
SD : Mon frère en grandissant, puis Rosie McLennan (deux fois médaillée d’or en gymnastique) a fait naître mon rêve olympique, mais pas avant l’âge de 18 ans.
T’es-tu fait des amis pendant ces années, avec lesquels tu es encore en contact aujourd’hui?
SD : Une tonne. J’ai rencontré mon fiancé en faisant de l’Opti et j’ai beaucoup d’amis de longue date contre lesquels j’ai couru en Opti.
Faisais-tu d’autres sports à l’époque et en fais-tu encore?
SD : La voile était mon principal sport jusqu’à ce que je déménage au Canada à l’âge de 14 ans, puis j’ai essayé d’autres sports comme le volley-ball, l’aviron et le hockey sur gazon. Aujourd’hui, je me concentre sur la voile et j’ai ajouté le vélo et le golf pour l’entraînement.
Quelle était ta régate préférée à l’époque?
SD : J’ai toujours aimé CORK. Une crème glacée White Mountain était ma gâterie préférée après avoir fait de la voile.
Te sentais-tu intimidée sur la ligne de départ?
SD : Au début oui, c’est normal d’être nerveux ou de se sentir intimidé lors des grandes régates, mais parfois il faut essayer d’être à l’aise quand on n’est pas à l’aise et cela finira par passer.
Quel est ton plus beau souvenir de tes années en Opti?
SD : J’ai fait partie de la Lake Ontario Optimist Team et j’ai eu beaucoup de plaisir à voyager à travers l’Amérique du Nord dans une camionnette avec l’équipe. J’ai tellement de beaux souvenirs en Opti.
Qu’est-ce que tu aurais aimé savoir à l’époque que tu sais aujourd’hui?
SD : Il ne s’agit pas de gagner. Il s’agit de développer ses compétences dans tous les domaines et de s’amuser. Avant, je me souciais trop de gagner.
Qu’aimais-tu manger sur l’eau?
SD : Quand j’étais enfant, j’adorais les collations aux fruits de Welch’s, mais maintenant je mange des barres Lara et des gels énergétiques GU.
Quel est le meilleur repas à prendre pendant une régate ?
SD : Quelque chose de simple et de facile à digérer. Mon repas préféré est le poulet BBQ, les patates douces et le brocoli.
Dans quelle mesure la voile en Opti t’a-t-elle aidé à faire la transition en ILCA?
SD : J’étais extrêmement compétitive et j’avais de bonnes connaissances de base, mais il me manquait beaucoup d’éléments fondamentaux parce que je ne faisais pas beaucoup d’autres genres de voile. C’est là que j’aurais aimé apprendre plus de compétences de base et être un marin plus complet avec la bonne attitude avant de passer à l’ILCA 6. Tout est question d’avoir un état d’esprit de développement.
Quelle est l’importance de l’entraînement physique en dehors de l’eau pour réussir?
SD : Extrêmement important. Je n’ai jamais été une adepte du gym, alors j’ai dû travailler fort pour apprendre les bons mouvements et développer une discipline. À mes débuts en ILCA, j’ai souffert de mon manque d’entraînement physique en dehors de l’eau.
Quelle est l’importance de la préparation mentale pour réussir?
SD : L’état d’esprit est primordial. Je m’efforce d’être une athlète humble et facile à entraîner, toujours prête à apprendre et à essayer de nouvelles choses. J’ai connu beaucoup de succès en acceptant le processus.
Quels conseils donnerais-tu aux jeunes marins qui souhaitent poursuivre une carrière dans la voile de haut niveau?
SD : Posez beaucoup de questions, développez vos connaissances et votre forme physique et visez l’excellence. Devenir un marin bien équilibré portera ses fruits et la confiance dans le processus vous permettra d’obtenir les résultats que vous souhaitez.
Qu’as-tu étudié à l’université?
SD : J’ai obtenu un diplôme de commerce avec une spécialisation en gestion du marketing. Quels sont tes projets pour les deux prochaines années?
SD : Il reste moins de 250 jours avant Paris 2024. Je me concentre entièrement sur la préparation de ces Jeux olympiques en France, après quoi je prendrai un petit répit et je commencerai à organiser mon mariage en 2025.
Merci beaucoup d’être si généreuse de ton temps. Bonne chance pour les Jeux olympiques et félicitations pour ton mariage à venir! De nombreux Opti suivront ton aventure!
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